vendredi 20 décembre 2013

Plage de Palm Beach

CHEZ LAZIO à l"époque situer au village rasta, qui a lui aussi été détruit

lundi 1 juillet 2013

INCENDIE


Société
VRIDI : Plus de 100 habitations en bois parties en fumée,
LE PATRIOTE - Samedi 05 Mai 2012 - 09:33 




Le feu a encore fait des dégâts. En effet, selon Alerte Info, un incendie a ravagé hier matin, plus d’une centaine d’habitations en bois, au quartier Vridi Cité, dans la commune de Port-Bouët, causant d’importants dégâts matériels. L’incendie dont nous ignorons l’origine, s’est déclarée aux environs de 10H GMT.

Si certains habitants évoquent la thèse du court-circuit électrique dans l’une des habitations en bois, d’autres soutiennent que l’explosion d’une bonbonne de gaz serait à l’origine du feu.

A en croire Alerte Info, pour le Groupement des sapeurs pompiers militaires, le feu est parti d’un garage automobile avant de se propager aux baraques. Mais à en croire notre source, les soldats du feu ont eu maille à partir avec les populations, les accusant d’être arrivés en retard sur le lieu du drame. Pareil incendie avait embrasé ce quartier en 2005. 

Destruction du village rasta


La nouvelle nous est parvenue comme une badinerie. Le village Rasta situé à Vridi dans la commune de Port-Bouët vient d`être détruit par des gros engins. Allés sur les lieux pour vérifier l`information, le constat est clair et alarmant. A l`entrée de ce temple des hommes aux dreadlocks, il nous est donné de voir un décor inhabituel : décombres de maisons, toitures, meubles, œuvres d`art éparpillés sur le sol et des Rastamen, regards lointains, scrutant le ciel.

A la question de savoir ce qui s`est passé, Bah Constant, secrétaire général du Conseil de gestion dudit village, a surpassé les émotions pour assumer sa responsabilité. C'est d'une voix étreinte qu'il a expliqué les faits : «C`est ce matin aux environs de 10 heures qu'un certain Bailly, présumé aide de camp de Zaher, un Libanais qui prétend que le terrain lui appartient désormais, est venu détruire toutes les maisons, casser et broyer toutes nos œuvres avec les Caterpillars. Il est venu avec un cargo de policiers et un magistrat. Ils ne nous ont même pas donné le temps d`échanger et ont tout détruit». Poursuivant, notre interlocuteur exprime sa colère face à l`agissement de l`aide de camp du présumé nouveau propriétaire du site. Car, selon lui, ce dernier, environ deux semaines plus tôt, les avait prévenus de la nouvelle acquisition du site par son patron. En revanche, il leur avait annoncé qu`une alerte leur serait faite avant toute démolition.
Face au fait accompli, Bah Constant interpelle les autorités compétentes. A l'en croire, le site leur aurait été cédé par le maire de Port-Bouët, Hortense Aka Anghui, depuis 1996. Mieux, il rappelle le caractère non violent qu'incarne sa corporation et la promotion culturelle qu`ils en font. «Nous sommes une jeunesse qui se prend en charge avec nos différentes activités que nous menons. La culture Rasta a permis de nous auto-employer. Le village est devenu un site touristique qui attire tous les grands noms de la musique reggae en Côte d`Ivoire (…). Malgré tout ça, on nous a bousculés aujourd'hui comme des moins que rien. Nous crions justice. Nous utiliserons tous les moyens légaux parce que nous ne sommes pas violents», a-t-il lancé en envisageant d’informer la mairie de Port-Bouët, de rencontrer le ministre de la Culture et de la Francophonie et de porter plainte aujourd'hui. Dans un souci d`équilibre d`information, nous avons tenté d`entrer en contact avec le présumé Bailly, aide de camp du nouvel acquéreur, en vain. Laissant ainsi, les Fils de Jah dormir à la belle étoile, hier.


Agression

Vridi: Une mère de famille violée par des inconnus



Dame A.B, mère de famille, n'oubliera pas de si tôt la nuit du vendredi 18 au samedi 19 janvier 2013



 Revenant de Marcory où elle est allée rendre visite à des parents, l'infortunée dame a été interceptée par deux individus qui ont abusé d'elle sexuellement. Selon les informations, parvenue, aux environs de 20h, à hauteur des rails, à Vridi-Canal, son quartier, A.B attend un taxi pour rallier son domicile situé de l'autre côté des rails. C'est dans cette attente-là, qu'elle voit arriver vers elle deux gaillards aux allures suspectes. L'endroit étant non éclairé, A.B tente de se mettre à l’abri derrière une baraque. C'est là que les deux hommes la retrouvent avant de la sommer de se déshabiller.

Comprenant l'intention des deux inconnus, la mère de famille se met à les supplier. Rien n'y fit. Et les deux tristes individus, sous la menace d'un couteau qu'ils brandissent, la possèdent, à tour de rôle. Leurs bas instincts assouvis, ils abandonnent leur « proie » et se fondent dans la nuit noire. Remise de son choc, A.B rentre chez elle sans dire mot à personne. Du moins pas à son mari. Elle se confie plutôt à une amie, qui saisit une organisation féminine de défense des droits des femmes. Mais comme elle a choisi de rester dans la discrétion, l'organisation tente de lui faire oublier cette parenthèse honteuse de sa vie, en la confiant à des psychologues.



Village Rasta les décombres



Destruction de leur village à Vridi: Qui en veut aux rastas ? 

Destruction village Rasta



 Le mercredi 11 juillet, les habitants du village Rasta ont vu détruire leurs concessions. Selon  Michel Bailly, aide de camp de M. Zaher, propriétaire des lieux depuis 1973, c’est une opération de déguerpissement pour la mise en valeur de la surface. Mais la réalité du terrain laisse entrevoir autre chose…





HOTEL CHEZ CAKPO

HOTEL CHEZ CAKPO 

LA PLAGE DE CANAL

LA PLAGE DE CANAL

DES PÊCHEURS DANS LE CANAL

DES PÊCHEURS DANS LE CANAL

LE CANAL DE VRIDI

                                                  
LE CANAL DE VRIDI

Souvenirs souvenirs






Souvenir

CHEZ DOMINIQUE

vendredi 26 avril 2013

VILLAGE RASTA DE VRIDI

VILLAGE RASTA DE VRIDI : les
populations traquées par des
hommes en armes.
La communauté rasta du
village de Vridi n’est pas au
bout de ses peines. Après la
destruction de ses
habitations, le mercredi 11
juillet 2012, elle vit un autre
calvaire depuis quelques
semaines. En effet, des
hommes en armes n’ont de
cesse de faire des descentes
musclées dans ce terreau qui
abrite encore un bon
nombre de ceux dont les
maisons ont été démolies.
Horripilés par les assauts de
ces individus se réclamant
des Forces républicaines de
Côte d’Ivoire (Frci), les
membres de la communauté
rasta, essentiellement
composée d’artistes et
d’artisans, sont montés au
créneau le vendredi 19
octobre 2012.
« Nous sommes fatigués de
ces agissements. Ils disent
qu’ils sont des éléments des
Frci et se comportent comme
des bandits », a fustigé Ras
Diomandé Ben Aboubabakar,
chargé de communication de
cette communauté, avant
d’expliquer que «ce sont des
hommes armés qui viennent
la nuit dans notre village et
nous accusent d’être des
miliciens. Nous sommes
agressés et dépouillés de nos
biens ». Ben Aboubakar est
revenu sur le dernier forfait
de ces hommes.
« En ces temps de pluies,
nous avons érigé des abris
de fortune pour nous
protéger. Si au départ, nous
ne prenions pas au sérieux
les rafles et autres actes
d’intimidation que nous
subissons de la part de ces
éléments des Frci, nous
nous sommes rendus
compte de la gravité des
choses la semaine dernière
lorsque 6 éléments armés
de kalachnikovs ont fait
irruption dans notre
village. Ils ont fouillé de
fond en comble toutes les
baraques à la recherche de
drogue. Nous ne sommes
pas des consommateurs de
drogues ni des dealers», a-
t-il décrié, non sans regretter
que «certains d’entre nous
ont été agressés».
«C’était traumatisant. Nos
femmes et enfants étaient
tous été choqués », a-t-il
expliqué. Les populations du
village rasta de Vridi qui
craignent que cela ne vire au
drame, ont saisi les autorités
militaires du pays face aux
agissements de ces éléments
des forces de l’ordre. Aux
dernières nouvelles, ces
derniers auraient été
ramenés à l’ordre par leur
commandant, un certain Bill.
L’assurance a été faite que
ces genres d’incidents ne se
reproduiraient plus.
Publié le Mar 23 Oct 2012
--- Vu fois --- Par : Soir Info